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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:00

Conformément à l'article L212-1-X du code de l'environnement, les SDAGE approuvés en fin d'année 2009 ont déterminé les sous bassins pour lesquels un ou plusieurs SAGE étaient nécessaires pour respecter les orientations et les objectifs fixés.

65 SAGE, dont 18 nouveaux, ont été identifiés. La liste et la carte sont consultables sur Gest'Eau dans la page des SAGE.


12 nouvelles fiches ont été créées : Allan, Bassée Voulzie, Croult-Enghien-Vieille Mer, Fresquel, Golfe du Morbihan et ria d'Etel, Hers Mort Girou, Molasses miocènes du Bas-Dauphiné et alluvions de la plaine de Valence, Nappe du Breuchin, Prunelli Gravone Golfe d'Ajaccio, Siagne, Tille, Viaur.

 
SAGES-carte-2010 

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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 20:22

RV11.png

Publication de l’Association des usagers

de l’eau et de l’assainissement et pour l’environnement

siège social Volsin - 71220 Marizy

 


<< Le bulletin d'information d'Arconce
     Source info n°14

 




Le comportement réccurent des élus locaux de campagne nous poussent vraiment vers la pitié !

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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 19:54
  

Merci aux élus de Mâcon, pour cet article qui donne de l'espérance à igepac. Une énorme majorité d'élus partagent les remarques faites dans cet article mais refusent un débat sur des sujets trop souvent tabous ou ignorés.

Le prix de l'eau* sera en 2009 de 423 € pour 120 m3 à Mâcon. Il était de 369 € en 2007.

Comment justifier ces 53 euros de différence**?

L’équipe municipale assure que la délégation à Véolia et à Suez serait la meilleure solution pour les Mâconnais. Pour l'Instant elle prouve seulement qu'on paie l'eau de plus en plus cher.

 

L'eau est trop chère à Mâcon.


Pourquoi paiera-t-on seulement 337 € à Chambéry ?

Pourquoi paiera-t-on seulement 278 € à Clermont Ferrand, pour une population semblable ?

C'est très simple, l'eau est administrée par les villes elles-mêmes, en régie municipale. Leur prix de l'eau n'enrichit aucun actionnaire, aucun mastodonte de la distribution d'eau. Il n'est que le strict reflet des charges engagées par la Commune pour produire et distribuer l'eau.

 

Est-il normal de payer plus alors qu'on consomme moins, comme le montre la baisse de 6% des consommations domestiques ?

Cela veut dire que les personnes qui font attention à ne pas gaspiller l'eau, les personnes qui consomment moins car seules dans leurs foyers, payent pour celles et ceux qui sont des gros consommateurs, ceux qui ne font pas attention au gaspillage de l'eau.

 

Est-il normal de payer une part fixe très élevée même pour les consommations les plus faibles ?

La partie fixe c'est ni plus ni moins qu'une taxe obligatoire, un droit de péage obligatoire de l'eau, de la même façon que l'on trouvait, en vivant quelques siècles en arrière, la gabelle pour le sel.

 

Est-il normal que tous les Mâconnais ne paient pas la même part fixe ?

Nous avions déjà dénoncé en son temps cette disparité des prix qui fait par exemple, qu'à Loché et à Saint Jean le Priche, communes associées, on ne paie pas la même chose qu'à Mâcon, pour d'obscures raisons de structures.

Les frais sont-ils si différents à quelques kilomètres de distance ?

 

La communauté d'agglomération ne peut plus aujourd'hui faire l’impasse d'un débat sur un prix unique de l'eau, qui permette à la fois l'émergence d'un seul prix pour l'ensemble du bassin, mais aussi de réfléchir sur les moyens de le baisser. Il est temps de penser à la création d'une régie intercommunale, comme dans de nombreuses villes et collectivités qui ont repris avec succès la maîtrise de ce service essentiel.

 

Ce qui est possible ailleurs, et à grande échelle, est possible à Mâcon.

 

Aujourd'hui, le marché de l'eau connaît une vague de renégociations 1 à l’initiative de maires décidés à baisser les tarifs. A Saint-Étienne on observe une baisse de 23%, on remunicipalise à Paris. A Neufchâteau (Vosges), Venelles (Bouches-du-Rhône) ou Castres (Tarn), quel que soit le bord politique, le passage en régie s'est soldé par une baisse de prix d'environ 20% pour les usagers.

 

Quand ferons-nous cet effort à Mâcon ?

 

L'eau n'est pas un bien marchand,*** et il doit être reconnu comme un droit humain fondamental. Nous sommes pour un service public de l'eau accessible à tous, géré au plus près des besoins, et surtout transparent.

 

Article paru dans le magazine de la ville « un mois à Mâcon » du mois de décembre 2009.

Pour le groupe des élus de gauche au Conseil Municipal :

Jean-Marc BRUNIER, Nicole CLEMENT, Joëlle HYTHIER, Annie JAULT, Pierre MARTINERIE, Joëlle MARZIO, Yves PAGNOTTE, Olivier TAVIOT et Pierre TERRIER.

Contact : Secrétariat des Elus de Gauche Hôtel de Ville - Quai Lamartine-71018 Mâcon Cedex Tél. 03 85 39 71 49 (le matin) ou elusdegauche@ville-macon.fr

 


Remarques igepac

 


* L'eau est trop chère à Mâcon ? Pas pour tout le monde.
En 2008 le prix moyen payer par les particuliers était de 4 € le m3, 5 € pour une personne vivant seule ( personne agée, mère célibataire avec des enfants ... ou étudiant pour les moins "fortunés"). A l'hôtel, par exemple, le touriste aura de l'eau à 3 € le m3 !!! NORMAL !!!   Le pire est à voir avec la facturation de l'assainissement.

 

** Il sera intéressant de compléter l’information en calculant l’augmentation pour une consommation moyenne des particuliers de 30 et 60 m3.

 

*** Une affirmation qui demande une explication ou une suite. Si nous ne considérons pas l’eau comme un bien marchand, il faut nous dire comment la considérer.


Un constat évident : c’est un produit de consommation, ... vital.

OUI,  l'eau ne doit pas être un bien marchand ... au service d'intérêts privés.

Il est à rappeler que le montant des parts fixes n'a aucun rapport avec des longueurs de réseaux ou de frais supplémentaires. Elles servent  à vendre de grosses consommations à prix réduit ( en dessous du prix de revient ! ).  Je defie quiconque de me prouver le contraire ou, de même, de me fournir la preuve de l'existance des parts fixes dans un bilan ou un compte de résultats . 

__________________




Le mercredi 09 décembre 2009, un droit de commenter cet article a été envoyé à Monsieur le Sénateur-maire
Jean-Patrick Courtois et ses conseillers pour une participation à un vrai débat démocratique
.






Jean Dossoy
 

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 11:25

La France à la 6ème place européenne grâce aux parts fixes ou abonnements de nos factures d'eau.


 

Les 3,09 euros par mètre cube sont un prix de l’eau des cinq plus grandes villes françaises.

Que signifie ce chiffre ?

Une affirmation : il ne correspond pas à la moyenne du prix du mètre cube que paye le consommateur  Français qui se situerait en ville plus prés des 4 euros. Igepac le prouvera par une étude en cours.





" D’après l’étude sur le prix de l’eau 2009, réalisée par le cabinet Nus Consulting à la demande de la Fédération Professionnelle des Entreprises de l’Eau (FP2E), l’augmentation du prix de l’eau en 2009 par rapport à 2008 dans les cinq plus grandes villes françaises a été de 2,7%. Il se situe donc au même niveau que la moyenne des hausses de prix observées dans les dix pays européens sélectionnés par l'étude*, cette moyenne étant de 2,6%.

 

  

L’augmentation des prix depuis 2003 est cependant moins rapide en France (3,6%) que dans le reste des pays européens considérés (4,6%).

 

 

Le prix moyen de la distribution (service des eaux et taxes) est inférieur en France à la moyenne européenne, alors que le prix moyen de la dépollution (assainissement et taxes) est à peu près équivalent à la moyenne européenne.

 

*A noter que l’étude se base sur la comparaison du prix de l’eau et de l’assainissement dans les cinq plus grandes villes (le reste du pays est donc exclu de ce calcul) de seulement dix pays de l’Union Européenne : Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède. Sa représentativité en est donc restreinte. "

 

Source : www.hydroplus.info - 28 octobre 2009


Le prix de l'eau à Paris

 "Au 1er avril 2009, le prix du m3 est de 2,89 euros TTC. C'est l'un des moins élevés de l'Ile-de-France."

 

« Au prix de l'eau s'ajoutent les frais de location et d'entretien du compteur de l'immeuble. Pour un compteur de diamètre 15 mm, diamètre le plus fréquemment utilisé, le coût de location et d'entretien s'élève à 20,08 € HT ( soit 21,1844 € TTC ) par an au 1er janvier 2009. . »




Les informations précédentes sont tirées du site de la ville de Paris http://www.paris.fr.

Il est impossible de connaître le prix de l'eau en France, l'exemple précédent le montre bien. 2,95 € en 2008 et 2,89 € 9 mois plus tard en 2009 ! La moitié des Parisiens vivent seuls et ont une consommation moyenne d'une trentaine de mètres cube et pour eux le prix de l'eau est de l'ordre de 3 € 50 car l'abonnement ( qui est ici nommé location de compteur ) augmente le prix du mètre cube.   

Remarque

La part fixe ou l'abération de vouloir justifier l'injustifiable, même à Paris !
Un montant d'une location d'une vingtaine d'euros est une véritable usure car c'est la location d'un appareil qui à l'achat coûte moins d'une cinquantaine d'euros et qui dure plus de dix ans ! Ce montant de part fixe permet à Monsieur le Maire de Paris de facturer le prix du mètre cube à un moindre coût aux activités professionnelles.
 
A comparer le prix de l'abonnement : Marseille 11 € et Lyon 69 €.


Euréka ! On a cherché longtemps, et sans jamais trouver, comment était fixé le montant des parts fixes. Nous venons de découvrir une bonne corrélation entre ce montant et le numéro du département !  Les exceptions justifierons cette règle !


Conclusion


Les 3,09 € de prix moyen servent à nous faire croire que l'eau n'est pas chère en France, pour mieux nous faire accepter les augmentions à venir.
Le pire, c'est que certains de nos dirigeants qui ne regardent pas leurs factures d'eau, peuvent croire ce type de propagande !!!

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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 20:34



Jean Dossoy est heureux de remettre le premier château d'âne aux élus gérant le syndicat des eaux de Thoisy le Désert, grâce à la facture d'eau envoyée par Jacques cet automne.




  << L'analyse des nombreux pesticides
      utilisés localement n'a pas été faite en 2008






  << La facture d'eau qui prouvent que les élus locaux favorisent
       grassement les activités professionnelles au détriment des particuliers, 
       ce syndicat est bien connu localement pour cette dérive sociale.




 << Le tarif de l'eau du syndicat : les petits sponsorisent les gros !
      SANS assainissement !
      ( Avec assainissement il faut doubler le montant de cette facture ! )




 << La détection des pesticides n'est pas un problème local mais national.






MORALITE :

NE  JAMAIS  FAIRE  CONFIANCE à  autrui  pour  s'occuper  de  sa  propre  santé  !!! 

LA RECONMANDATION SANITAIRE D'IGEPAC :

NE BUVEZ  JAMAIS L'EAU  DU  ROBINET  SANS  AVOIR  LA CERTITUDE QUE TOUS LES PESTICIDES UTILISES SUR VOTRE COMMUNE ONT ETE ANALYSES.





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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 12:03

Les pesticides sont nocifs à la santé,
ils sont mortels sans aucun doute.

Et les nitrates ?




La dose journalière acceptable de nitrates dans les aliments a été fixée par l’OAA/OMS à 300 mg par jour pour un adulte ( ? ). La valeur limite pour l’eau potable est de 50 milligrammes par litre.


Remarque : pour les pesticides la concentration  totale à ne pas dépasser est de 0,50 microgramme par litre, soit une concentration 100 000 fois plus faible ! La toxicité des pesticides est sans commune mesure avec celle des nitrates. 

 

Il est préférable de prendre peu de nitrates parce que les nitrates ingérés peuvent être transformés en nitrites. Les nitrites peuvent affecter la capacité du sang à transporter l’oxygène, en transformant l’hémoglobine, la protéine qui porte l’oxygène dans le sang, en méthémoglobine, une forme de la protéine qui ne peut pas porter l’oxygène.


Ce phénomène est particulièrement dangereux pour les nourrissons jusqu’à 6 mois.

De plus, les nitrites peuvent réagir avec d’autres éléments, comme les amines et
amides secondaires ou tertiaires dérivés de l’alimentation et d’autres sources, pour former les bien connues substances carcinogènes et mutagènes, du moins chez l'animal, appelées nitroamines/amides.

 

Les nitrates sont cependant nécessaires dans le secteur de l'agriculture et de l'alimentation.

Le nitrate est un facteur de croissance essentiel pour les plantes et il est donc largement utilisé pour fertiliser en agriculture. Il n’existe pas de réglementation

générale sur l’utilisation du nitrate, mais, vu que certaines plantes accumulent le nitrate en très grandes quantités, comme l’épinard et la laitue, la Commission européenne a des réglementations qui fixent les niveaux maximaux de nitrate dans ces plantes et dans certains aliments qui sont consommés par des groupes de population spécifiques comme les enfants :

dans les épinards frais récoltés du 1er novembre au 31 mars : 3000 (mg NO3 / kg) et récoltés du 1er avril au 31 octobre : 2500 (mg NO3 / kg)

 

w  Réglementation de la Commission européenne (EC) No 466/2001, pour les épinards traités ou surgelés : 2 000 (mg NO3 / kg)

 

w Réglementation de la Commission européenne (EC) No 466/2001, pour la laitue fraîche : récoltée du 1er octobre au 31 mars : 4 500 (mg NO3 / kg) et récoltée du 1er avril au 30 septembre : 3 500 (mg NO3 / kg)

 

w Réglementation de la Commission européenne (EC) No 466/2001• pour les aliments pour bébés et aliments traités à base de céréales pour nourrissons et jeunes

 enfants : 200 (mg NO3 / kg)

 

La réglementation de la Commission européenne (EC) No 655/2004A sur l’utilisation de nitrates et nitrites comme additifs alimentaires de conservation dans les viandes traitées, comme le jambon ou les saucisses de Francfort, pour garder les produits sains en empêcher la croissance de bactéries botuliques, Clostridium botulinum, qui sont très pathogènes. Dans les viandes traitées, ils contrent également les effets indésirables du sel sur la couleur.
 

Source : eufic.org


 ___________________________

 



Ce qu'en pense nos voisins belges,
Les Amis de la Terre


Dose limite

L’Organisation Mondiale pour la Santé (OMS) recommande de ne pas dépasser pour un adulte une dose journalière admissible (DJA) de 3,65 milligrammes de nitrates par kg et par jour.


Pour un adulte de 70 kg, cela correspond à 255 mg de nitrates par jour. Mais le bébé n’est pas un adulte en miniature. Cette DJA ne peut donc être transposée au nourrisson !

Pour ne pas dépasser cette DJA, il ne suffit pas de prendre garde à la qualité de l’eau alimentaire. En effet, les légumes, les fruits, le pain, les produits laitiers, les salaisons, les charcuteries contiennent des quantités plus ou moins grandes de nitrates : jusqu’à 2.000 mg (deux grammes !) par kilo pour certains légumes ! Selon la qualité de l’alimentation et la qualité de l’eau alimentaire, la DJA peut donc être rapidement atteinte.

Les nitrates, un risque pour la santé ?

Rappelons que les nitrates ne sont pas du tout assimilables par l’organisme.

Ils ne sont donc en aucun cas nécessaires dans notre alimentation.

Les nitrates présents dans les légumes résultent du mode de culture. Dans les fromages et les charcuteries, ils sont issus des additifs utilisés comme agents de conservation.

 

Oui, les nitrates représentent un risque réel pour la santé : ceci est confirmé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

 

Une grande partie des nitrates absorbés s’éliminent par voie urinaire. Mais, dans le sang, une certaine quantité de nitrates peut se fixer à l’hémoglobine, rendue ainsi indisponible pour la fixation et le transport d’oxygène vers les tissus. C’est la cyanose (coloration bleuâtre de la peau, provoquée par une oxygénation insuffisante du sang).


Dans le tube digestif, sous l’influence de diverses substances naturellement produites par l’organisme, les nitrates peuvent être transformés en éléments toxiques, identifiés comme cancérigènes par l’OMS.


À côté des maladies graves, existent des dérangements mineurs qui font que l’on ne se sent jamais en bonne santé !

 
( source : amisdelaterre.be )

 

____________________


 Pour en savoir plus
 

Diverses études permettent de suspecter fortement la responsabilité de teneurs élevées en nitrates dans l’eau et les aliments, et le développement de cancers de la prostate, du pharynx, de l’oesophage ou du colon. En absence de certitudes absolues, ces résultats imposent de prendre les précautions nécessaires afin de préserver la santé humaine.

Face au nombre de cancers de la prostate et du colon en particulier, ce sont deux scientifiques de l'Université de Paris-Sud qui nous préviennent du danger sanitaire, lire le document ci-dessous.

 


Les nitrates

 

  Damien BANAS et Jean-Christophe LATA

  Université Paris-Sud ; Laboratoire d'Ecologie, Systématique et Evolution ; UMR 8079 -

  CNRS/ENGREF/Univ. Paris-Sud ; Bât 362 ; F-91405 Orsay Cedex France




Recommandation " nitrates "
dans les eaux destinées à la consommation humaine : le Ministère de l'écologie et du développement durable est très prudent.


   
Ministère de l'écologie

      

 ___________________________


Pour finir : une vidéo

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Que peut-on conclure ?



 


Les nitrates sont nocifs pour la santé humaine lorsqu'ils sont en excès, comme tout apport excessif à notre organisme. Le problème provient de la qualité des aliments que nous pouvons nous procurer, trop riche en nitrates.
 

Les nitrates sont interdits aux nourrissons et aux femmes enceintes ou allaitantes ( tout comme l'alcool, par exemple )

Le plus grand danger ne semble pas venir de l'eau que l'on boit, mais pour autant, doit-on laisser la situation empirer ?




Boire de l’eau sans nitrate ne nous sera pas très utile si nous consommons beaucoup de fruits et légumes provenant de notre agriculture ( non bio ).
Attention bio ne signifie pas sans nitrate, un produit bio en contiendra moins.


L'eau n'est pas l'aliment qui contient le plus de nitrates.


Une eau de source polluée à 50 mg/l est-elle vraiment un danger immédiat pour la population ?

 

- Un kilogramme de  betterave, céleri, laitue, épinard ou radis contient plus de 2,5 grammes de nitrates, soit l’équivalent de 50 LITRES d’eau polluée à 50 mg/l !

Ou encore un litre d’eau polluée à 50 mg/l contient autant de nitrates qu’une feuille de laitue ou qu’un petit radis de 20 grammes !

Etc.


 ___________________________

 


L'eau ne représente, en moyenne que 15 % des apports en nitrates de l'organisme, alors que 75 % proviennent des aliments (charcuterie, conserves de viande et, surtout, légumes).
Par exemple, la saucisse contient en moyenne 420 mg de nitrates par kg, le jambon 260, les épinards 1870, le chou 870, les haricots verts 265, les carottes 150, la batavia 2716... ("Les nitrates" - Société Française de Santé Publique, 1993).

 

Source : cieau.com

 

 

A nos décideurs, pour notre santé

La relativité dans notre vie quotidienne 

Qui peut nous expliquer pourquoi nous devons réduire les nitrates de notre eau tout continuant d’en ingurgiter de grosses doses avec nos légumes et fruits, indispensables à notre santé !

Ne devrions-nous pas réduire, en priorité, le taux de nitrates dans nos autres aliments pour obtenir une réelle amélioration de la santé publiqe ?

Ce qui n'empêche pas de lutter efficacement contre la pollution produite par un excès d'apport de nitrates dans nos cultures.

Le débat est ouvert.


  

 ___________________________
 

 

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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 08:01

 L'eau potable à Auxerre en 2005
( un document de la communauté de l'auxerrois )



La qualité de l'eau buvable dans l'Yonne
( un document de la DDASS de l'Yonne )

 ( soyez patient lors du déchargement,
le dossier est important )

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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 16:49
Une interconnexion peut se schématiser ainsi : c’est un gros tuyau d’alimentation en eau potable qui dessert des communes sur son passage ...

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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 08:36

A venir sur ce blog,
 les informations régionales
par Jean Dossoy

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